Ore Sanjou !

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lundi 11 avril 2011

Captain's Blog : Stardate 110420.11

Strip 01

Présenté en avant première lors du Comic Paris Live en mars dernier, voici le premier strip de cette farce spatiale. Retrouvez demain la suite des aventures délirantes du Capitaine Keur, de Monsieur Pokes et de l'équipage du Star Truc. Que les fans de Kamen Rider et de sentaï se rassurent, fanzine Ore Sanjou reste toujours en activité : nous seront présent le week-end de la prochaine Japan Expo sur le stan de Méluzine ! A très bientôt ! Le navigateur (par intérim) du Star Truc.

dimanche 26 septembre 2010

Charles M. Schulz : 10 ans déjà...

10 ans déjà...

snoopyPendant mes vacances, j'ai dévoré les strips des Peanuts que j'avais apporté pour l'occasion : se prélasser sous le soleil du Loiret sur une chaise longue, avec pour seule compagne une bonne bande-dessinée est une activité très prisée chez certain (mon ami bretonnant ne me contredira pas sur ce point).
Charles Monroe Schulz est, avec ses Peanuts, l'un de mes cartoonist préféré. Celui qui m'a donné goût pour le dessin et la bande dessinée. Pendant 50 ans, il a dessiné quotidiennement des strips pour les journaux, ne tarissant jamais d'idée pour ses gags. Je regrette que la tradition du strip n'existe pas réellement en France pour nos quotidiens...

Bref.

Je réalise alors que ce cartoonist de génie nous a quitté voilà 10 ans ! 10 ans !
Une petite grande pensée pour lui rendre hommage sur ce blog.

L'une des forces des Peanuts est, à mon sens, son intemporalité : en regardant la date de publication d'une série de strips dont j'aurai pu jurer qu'ils avaient été écrits récemment, je réalise avec stupeur qu'ils datent... de 1959 !

51 ans ! Un demi siècle et pourtant toujours aussi frais à la fois dans le style graphique, les thèmes et l'humour.
Il est impossible à la seule lecture de ces strips de les situer dans le temps. Exploit dont serait bien incapable de se livrer un Titeuf par trop « encré » dans le 21ème siècle.

L'autre force des Peanuts est que chaque strip est à la fois indépendant et dépendant des précédents. Chaque gag se suffit en effet à lui-même, tout en faisant appel à de précédents gags et constituant au final une historiette s'étalant sur une ou plusieurs semaines : la lubie du moment de Snoopy, se prenant pour l'as de la première guerre mondiale combattant le Baron Rouge, Charlie Brown en colo...

Sans oublier les runnings gags qui couraient sur 50 ans !
Charlie Brown espérant chaque année des cartes de la St Valentin qu'il ne recevra jamais, Linus attendant à Halloween la Grande Citrouille, Charlie, encore lui, s'efforçant sans succès de faire voler son cerf-volant qui finira immanquablement dans l'estomac de l'arbre mangeur de cerf-volant...

Si, honte à vous, vous n'avez jamais mis la truffe dans une bd des Peanuts, je vous conseille cette sympathique anthologie au format poche, qui couvre les 5 décenies de la carrière de Snoopy et ses petits camarades : Peanuts, de Charles M. Schulz, aux éditions Rivages poche / Petite Bibliothèque, Code ISBN 9782743611484. 230 pages de strips pour 6,85€ (le prix d'un manga !)...

dimanche 11 avril 2010

Merci Cam !

dimanche 21 décembre 2008

Croquis

Entrainement sur les expressions des lèvres.

Capitaine Shedier

Le même encré.

Bon, plus que 6 mois avant Japan Expo et la finalisation de mon fanzine : ça va, no panique ;-)

mardi 23 septembre 2008

Entretien avec Stan The Man Lee (oldies)

Si Tolkien a créé l'univers de la Terre du Milieu et Zola les Rougon-Macart, Stan Lee a créé le Marvelverse. En effet tous les personnages qui font les beaux jours du cinéma américain sont nés de l'imagination fertile de cet homme : les X-Men, Spider-Man, Daredevil, Hulk… New York), Stanley Martin Lieber est le cousin de la femme de Martin Goodman, le doyen de Marvel. A la fin des années 40, il devient éditeur adjoint. Un an plus tard, il débute comme auteur sur une histoire de deux pages de Captain America.

Il rêve de devenir un jour un grand auteur comme ses modèles Stevenson, Conan Doyle et Burroughs. C'est pourquoi il ne veut pas attacher son vrai nom à l'écriture de ce qui est couramment considéré comme des "idioties".

Il choisi le pseudonyme de Stan Lee parce que, dit-il, ce nom a une consonnance " stupide ".

C'est en 1961 que le succès lui tend les bras avec The Fantastic Four puis Spider-Man (à lui et à ses amis Jack Kirby et Steve Ditko). C'est à cette période que naît la grande majorité des personnages classiques de Marvel (cette période est d'ailleurs appelée l'âge d'or des comics).

Après avoir longtemps été le Big chef de Marvel (poste qui au début devait être temporaire, le temps de trouver un remplaçant) il n'a jamais vraiment quitté la maison des idées. En effet aujourd'hui encore chaque histoire publiée par cette maison d'édition débute par le célèbre " Stan Lee présente ".

Le père des super-héros, a accepté de nous accorder une interview. Sur quel titre devions nous interroger The Man ?

Spider-Man ? Hulk ? The Advendgers ?

Notre choix s'est fait sur le comics qui explose tous les records de vente de BD, mais aussi de places de cinéma : les Etranges X-Men !

Vance: Lorsque vous avez créé les X-Men, pensiez-vous que cette bande dessinée deviendrait si célèbre ?

Stan Lee: Non, je ne pensais pas que cela deviendrait plus qu'un banal titre de bande dessinée.

Vance: Vous-êtes vous inspiré de Martin Luther King pour le personnage du professeur Xavier ?

Stan Lee: Je ne me souviens pas ce qui m'a inspiré lorsque j'ai créé le professeur X. Mais je ne pourrais pas dire que ce n'était pas Martin Luther King.

Vance: Quel est votre personnage préféré ?

Stan Lee: Wolverine.

Vance: Pourquoi ?

Stan Lee: Parce Que Wolverine est le personnage le plus complexe, le plus torturé et le plus imprévisible.

Vance: Aimez-vous le style des auteurs actuels des X-Men ?

Stan Lee: A dire vrai, je n'ai pas le temps de lire les X-Men, ni aucune autre BD. Pour cette raison, je ne peux pas vous répondre…

Vance: Reprendrez-vous à nouveau l'écriture des X-MEN ?

Stan Lee: Il est peu probable que j'écrive à nouveau sur les X-Men ou sur un autre titre de Marvel. A moins que ce ne soit pour un numéro spécial.

Vance: Avez-vous un message pour vos fans français ?

Stan Lee: Mon message à mes fans français est que j'apprécie leur loyauté à Marvel, ses super héros et moi.

J'espère que notre relation sera toujours aussi chaleureuse et amicale qu'elle l'a été dans le passé. Excelsior !

Retrouvez la réédition de cet article (initialement publié dans Comicbox) ci-dessous.

mardi 9 septembre 2008

Godzilla contre Spacegodzilla : film culte du nanar nippon (réédit)

Vu la qualité de la récupération de cet article (ci dessous) je vous conseille de le lire dans la version PDF en page 6 et 7 en cliquant sur l'image ci-côté :)

Personnage mythique du cinéma japonais, le lézard géant qui carbure au nucléaire débarque enfin sur nos côtes afin de célébrer son cinquantième anniversaire!

Godzilla est au cinéma japonais ce que King Kong est au cinéma américain : une oeuvre que les cinéphiles avertis qualifient de culte, une oeuvre qui transcende les générations, bref un évènement majeur du patrimoine culturel nippon. Hormis une sortie discrète en VHS il y a quelques années, et l'inÍNtable et trîÖdispensable remake américain, notre beau pays avait _ È›rgn_ par la rage destructrice du l_rd atomique.

Afin de palier à votre manque de culture, Aventi a eu la bonne d'éditer dans une collection de cinq coffrets dix des plus mémorables films de la saga, soit la moitié de la saga.

Créé en 1954, Godzilla cristallise la peur suscitée par les deux bombardement atomiques dont fut victime le Japon durant la seconde guerre mondiale. Le film connut un immense succès et plus d'une vingtaine de suites virent le jour entre 1954 et 2000.

Durant ses 50 ans de carrière, le statut du l_rd ÈÚlua : de monstre mal_que, Godzilla devint défenseur de la Terre. Ce changement fut marquée par une longue série de film opposant Godzilla à ses adversaires encore plus monstrueux et redoutables que lui !

Destroyer, le dernier adversaire en date, met un terme _a saga de notre dinosaure mutant : _a fin du film, Godzilla est finalement terrass_ar plus fort que lui. Toho, la soci_ de production _'origine de la s_e, a en effet dÈJdËÛ'arr_r un filon certes juteux mais qui commen_t _'_iser.

Godzilla contre Spacegodzilla, film datant de 1994, est significatif de la perte de vitesse de la s_e. Loin des films d'horreur des d_ts, cet __ opus se veut tout publique et lorgne fortement du c?de Bioman.

L'histoire est confuse et est pr_xte _es affrontements titanesques entre Godzilla, son clone mal_que venu de l'espace et un robot g_t tout droit sorti d'un manga de G?gai(2).

Outre ces trois principaux monstres, on retrouve _lement Little Godzilla, le fils de notre l_rd pr_r_les f_ jumelles Mothra, une version miniature de la mite Mothra, ainsi qu'une tÈ©pathe tÈ©kinîµste.

Lors d'un prÈJdent combat contre le monstre Biolente, des cellules de Godzilla ont _ projet_ dans l'espace.

AprîÖavoir _ happ_ par un trou noir et irradi_ par des rayons cosmiques, ces cellules se d_loppent et donnent naissance _pacegodzilla.

Envoy_ar les forces du mal (dixit les f_ Mothra) pour an_tir Godzilla (qui est príπnt_ci comme le protecteur de l'humanit_ Spacegodzilla d_rque donc sur Terre et, histoire de ne pas d_ger _a tradition, rase une fois de plus la ville de Tokyo.

A ce sc_rio catastrophe s'ajoute un Rambo nippon qui r_ de venger la mort de son fr_, une _ipe de scientifiques qui tentent de prendre le contr? de Godzilla gr_ aux talents d'une jeune tÈ©pathe, la mafia japonaise qui s'int_sse fortement _a tÈ©pathe et aux deux Godzilla, ainsi que la Force G, l'unit_pÈJale _'origine de Mogera(3), le robot g_t cit_lus haut.

B_ficiant d'effets spÈJaux corrects pour l'àÒque, le film est cependant _ill_ d'erreurs de raccord et hîµte entre film humoristique, film d'action et film fantastique.

Au registre des bourdes de r_isation, on retiendra cette sc_ dans laquelle Spacegodzilla d_uit la ville tandis que la foule paniqu_fuit en hurlant : la sc_ aurait pu _e cr_ble si la production n'avait oubliËÛ'interdire la circulation le temps du tournage.

C'est ainsi qu'au second plan, derri_ la foule affol_ le spectateur hilare peut voir des voitures rouler en sens inverse... tout droit vers le monstre !

Cerise sur le g_au, un bus se gare _n arr_pour prendre des passagers, inconscients qu'un L_rd g_t est en train de d_uire leur ville _ 10 m_es d'eux !

A bord du Mogera

Autre maladresse, une fois le combat fini, la tÈ©pathe se retourne vers le pilote du Moguera et lui pose une question : la sc_ se passe en pleine nuit. Le plan suivant montre le pilote ràÒndre _a jeune femme... en plein jour!

Vous l'aurez compris, Godzilla contre Spacegodzilla n'est pas le meilleur film de la s_e.

Toutefois, l'achat de ce coffret se justifie pleinement par la príπnce d'un second film de la saga, Le Retour de Godzilla, film de 1984, v_table film d'horreur qui renoue avec les premiers films.

 

dimanche 16 décembre 2007

Comics Life (à la Bey style ;)

Depuis que j’ai retrouvé du travail, je n’ai plus le temps, non pas de dessiner, mais de monter mes planches sur mon PC. Et je dois aussi avouer qu’après avoir bossé toute une journée derrière un écran d’ordinateur , je n’ai pas envie le soir de remettre ça.

D’ailleurs, depuis mon retour à l’emploi, je ne regarde quasiment plus le petit écran de la télé ou de mon PC.

Je crois que je vais adopter la solution de mon confrère bloggueur Bey, à savoir avoir recours à un logiciel de mise en page pour bande dessinée.
Voici un premier exemple réalisé avec une version démo de son logiciel (cliquez sur l'image pour l'agrandir) :

Une petite annecdote marrante : dernièrement, j’ai vu la bande annonce du film Le chiffre 23 et je me suis amusé tester la théorie du “le 23 est partout” et c’est vrai !

Je suis né en 1976 : 1+9+7+6=23
Mon nouveau job a commencé le 12 novembre, soit le 12/11 : 12+11=23 !

Bon, j’arrête là, il se fait tard et demain il faut se lever tôt.

Au revoir public chéri et à trèèès bientôt cette fois, promis juré !

samedi 13 octobre 2007

La nuit des mort-vivants

jeudi 23 août 2007

Bollywood

Bollywood
envoyé par forumverse. -

samedi 17 février 2007

Belybeuk dans ton téléporteur

Mon premier concert “Naheulbeuk”.

Les p’tits gars du Naheulband ont donné gratuitement à l’occasion du festival Zone franche de Bagneux (petite bourgade des Hauts-de-Seine et lieu de villégiature de Bey) un concert/comédie musicale survolté réunissant les univers de Belyscendre (avec Ladyfae alias la magicienne maladroite, Lili -qui fait de bonnes tartes aux myrtilles- et Tony Orc),Naheulbeuk et du Survivaure.

Durant plus de 2H30, nos artistes ont donné de la voix et habilement jonglé entre chants médiévaux traditionnels, hard-rock et comédie.

Je ne pourrai jamais oublié le blues du milshake ou le brodwayesque Téléportez-moi !

Surprise, la pétillante Oph (reine de la dénonce du jour du ninja qui officie régulièrement sur le forum Sentai School et le blog de Donric (auteur de Sentai School) faisait parti de la distribution. Comme quoi, le monde est petit ;)

Une véritable découverte pour moi (je connais de réputation, mais ne m’y suis jamais penché jusqu’à très récemment, merci Victor ;) ). Et je n’ai pas l’intention d’en rester là !

Ce fut l’une des meilleures soirées de ma vie de geek : je remercie ces artistes plein d’énergie et de bonne humeur pour ce bon moment passé en leur compagnie !

Guillaume, Bastien, Bey, Nico et les autres, vous ne savez pas ce que vous avez loupé !
(Finalement, je vais peut-être garder ta dédicace Bey, car je ne te l’ai pas dit, toute l’équipe était là ;) ).

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